Unissons nous la terre a besoins de nous

Unissons nous la terre a besoins de nous

LIEN AVEC LE SUBLIME

LE LIEN AVEC LE SUBLIME

 

 

L’éveil des talents chez un être dépend du lien intérieur qui l’unit aux êtres sublimes.

A –t- il ce lien qu’aussitôt les forces de son organisme se transforment et que, même âgé, il commence progressivement à rajeunir. Perd-t-il ce lien, sa  conscience commence à s’assombrir.

Le disciple se doit d’entretenir de nombreux liens avec le monde invisible, mais il lui faut surtout veiller à ne pas rompre celui qui est primordial, le lien qui l’unit à Dieu. Il y gagnera un élargissement de sa conscience et une lumière accrue qui le rendront capable d’étudier avec fruit. Dans n’importe quelle situation il trouvera toujours le temps et les conditions d’apprendre et de s’intéresser à tout ce qui se passe autour de lui.

Ce lien vient-il à être rompu ou même à être fréquemment interrompu que le disciple tombera dans le désespoir et en viendra à dire : « je remets ce travail à une autre vie ! » je dis qu’il n’y  a pas de meilleure vie que la présente. Si vous renvoyez la situation de vos problèmes à une autre vie, vous ne retrouverez plus les conditions que vous avez maintenant, et celles qui vous seront données seront bien plus difficiles. Ne négligez donc pas la vie présente, utilisez raisonnablement tous ses biens.

 

METHODE POUR LA PATIENCE

 

Je vous donnerez maintenant une méthode de travail pour acquérir la patience. Que chacun de vous prenne mille grains de blé. Dès que vous sentez  l’impatience vous gagner, commencez à compter les grains de blé. Si, après en avoir comptés dix ou vingt, votre calme est revenu, cessez alors de compter, sinon continuez jusqu’à cent et même davantage,  jusqu’à ce que vous soyez complètement apaisé. Inscrivez alors le nombre de grains de blé qu’il vous a été nécessaire de compter pour retrouver votre calme. Faites cet exercice pendant dix jours en notant le nombre de fois que vous y avez eu recours.

En l’exécutant tranquillement, avec  conscience et application, vous éduquerez votre patience. Plus vous avez compté de grains durant ces dix jours, plus vous aurez travaillé sur vous-même.

En comptant les grains pensez à la considération que chacun d’eux mérite : ce sont des êtres vivants qui vous communiquerons quelque chose d’eux-mêmes, et vous contraindront à penser.

Vous pouvez aussi vérifier cette loi au  cours de vos rapports avec vos amis. En vous entretenant avec l’un d’eux, vous vous sentez en bonne disposition, vos idées s’éclaircissent, vous éprouvez comme un élan intérieur, mais dès que vous vous séparez, vos bonnes dispositions s’évanouissent, un vide se  produit dans votre intellect et dans votre cœur. Vous pouvez constater ainsi que lorsqu’un être amical et bon communique avec vous, il dépose dans votre esprit une clarté encourageante et bénéfique.

 HIRONDELLE

AVEC MES MEILLEURS VOEUX DE PAIX PROFONDE



17/07/2009